Ah, une nouvelle salle, mais elle est très silencieuse. Je vais y mettre un peu de gaieté, pense-t-elle.
Elle se mit à fredonner une p’tite chanson de son frère adoré…
« Boit, boit, boit et tu oublieras…Shnouf Shnouf
Chante, chante, chante et tu t’apaiseras…Shnouf Shnouf
Danse, danse, danse et tu revivras…Shnouf Shnouf
(Ah, mais je sais, vous vous demandez ce que ces Shnoufs Shnoufs viennent se glisser à travers les paroles ? Hein ? Eh, bien, c’est les battements d’ailes du Falou de Sayadeena…Eh, bien, oui, pourquoi un phalène ne pourrai-t-il pas chanter ?)